DANSE



 
 
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Suivez -moi dans les coulisses du Ballet de l'Opéra de LYON à travers des répétitions auxquelles j'ai assisté lors de Brigades du ballet organisées par le Journal LE PETIT BULLETIN


Sources : Sandrine RAMBAUDJ, dans le Studio du ballet de l'Opéra de LYON vous fait découvrir cette belle compagnie de danse à travers des répétitions

BALLET "I new then"


Une bonne dose de danse contemporaine, un concentré de moderne jazz, un brin de rock'n'roll, une pincée de comédie musicale, un soupçon de hip hop sur une base de danse classique, le tout amalgamé avec la musique folk de Van MORRISON et cela donne un beau cocktail vitaminé , "I new then" de Johan INGER crée en 2012, qui rentre au répertoire du ballet de l'Opéra de Lyon cette saison. Car ça tourbillonne, ça swing, ça rock sous la coupole de l'Opéra en ce 22 mars 2017, lors de la répétition de ce ballet à laquelle j'ai assisté. Récit d'un après-midi au coeur de la Brigade du ballet, dont je suis sortie pleine d'énergie. SANDRINE RAMBAUD-J


A peine entrée dans l'Opéra, je suis projetée dans une atmosphère créatrice. J'entrevois au sous-sol les futurs décors d'Alceste de Gluck fraichement déballés, puis dans la grande salle de l'Opéra, trône encore sur scène Elektra qui alterne avec Tristan et Isolde dans le cadre du Festival Mémoires.


Une répétition concentrée


Cette ambiance bouillonnante de maturation artistique se précise, quand je pénètre dans la salle de répétition, où 18 danseurs sont déjà concentrés et en train de vivre une prise de rôle c'est à dire de danser pour la première fois un ballet. Divisés en deux groupes de 9, ces danseurs sont unis par la même passion dans le partage et la bonne humeur.
Un assistant du chorégraphe constructif

  
Mon attention se focalise très vite sur l'assistant du chorégraphe, un ancien danseur du NDT des Pays-Bas, dont le rôle est de transmettre la pièce aux danseurs de l'Opéra de Lyon. Je suis surprise par son implication et sa présence permanente au sein du groupe. Il met tout en oeuvre pour que les danseurs soient en confiance afin de se réapproprier l'esprit du chorégraphe, qui viendra dans quelques semaines régler les derniers ajustements. Il encourage, "Let's go", réalise quelques démonstrations de pas, visionne le ballet, travaille le rythme, les regards et surtout il apprend à exprimer toute la gamme des émotions comme si l'intérieur rejaillissait sur l'extérieur. Il communique aux danseurs le bonheur d'être ensemble et de le montrer sur scène, dans un ballet somme toute, très joyeux : "I new then", véritable hymne à la jeunesse, que cet assistant du chorégraphe connait pour l'avoir interprété lui-même.

Un ballet énergique et tonifiant

Cette chorégraphie pour 9 danseurs est pour moi d'une grande limpidité et éveille en moi une formidable énergie. Une danseuse pivot donne le signal sonore, puis réalise des mouvements souples tandis que les autres gravitent un à un autour d'elle, effectuant tout à tour un numéro en solo, duo, trio. Un ballet d'une intense vitalité où s'enchainent les pas de course, des contacts, des portés, des sauts, des chutes, des pirouettes. Pas une minute de répit, tout s'accélère dans un rythme battant, puis les danseurs sortent un à un de la scène, toujours dans un mouvement circulaire. En deux heures de répétition, j'ai l'impression d'avoir parcouru deux siècles d'Histoire de la danse, du rock à la comédie musicale, en passant par le hip hop, le jazz, la danse contemporaine et bien sûr la danse classique. J'ai l'impression  d'avoir moi-même dansé tant l'énergie dégagée était débordante et communicative.
 Osmose et unité

Pendant qu'un groupe répète en musique, l'autre simule les gestes à sa façon comme la danseuse Jacqueline assise prés du piano. Je sens progressivement une unité et une osmose entre tous ces danseurs aux personnalités et aux styles différents. C'est lorsque chaque groupe s'essaye à la même danse, que je prend conscience que chaque danseur apporte sa touche personnelle à une même création et que c'est cela qui fait l'originalité et la force de cette compagnie de ballet de l'Opéra de Lyon. L'essence même est là.
Je sors de cette répétition tonifiée et ravie d'avoir pu partager ce moment avec ces artistes de la danse dans ce lieu merveilleux, accompagnée par Nadja POBEL du Petit Bulletin et de Pierre-Henri ALQUIER de l'Opéra, que je remercie.

                                Sources : textes et photos de la bloggeuse Sandrine RAMBAUD-J
Les danseurs ont déjà fait évoluer leur interprétation entre le début et la fin de cette répétition. Et je sais qu'elle sera encore différente, affinée, personnalisée pour être fin prête lors de la Première, le lundi 10 avril 2017 à 20H30 dans la salle du TOBOGGAN de Décines. Une belle soirée KYLIAN/INGER, du 10 au 14 avril 2017, à ne pas manquer. KYLIAN, un  autre géant de la danse.


Sources : Dossier de presse, Opéra de Lyon, avril 2017

Voir cet article paru dans le blog du Petit Bulletin : I new then
Visite avec moi l'Opéra de LYON sur ma chaîne YOUTUBE Musica Danse et tu pourras y découvrir un extrait des répétitions de I new then :


BALLET REVOLUTION (S) : XYLOGRAPHIE ET SUNSHINE


En ce samedi 11 février 2016 à 15h, le Toboggan de Décines a organisé une répétition publique du ballet Révolution (s) qui sera à l'affiche du mardi 9 au samedi 13 février. Répétition d'un des trois ballets, celui de Tânia Carvalho, Xylographie, à laquelle j'ai assisté. Une première création mondiale pour le ballet de l'Opéra de Lyon hors les murs. Sans costume mais tout en sons et lumières, cette pièce a été une véritable poésie visuelle et corporelle. Un tourbillon d'émotion et de finesse.



Inspiré du procédé de xylographie transposé au geste, le ballet débute en silence avec Tyler Galster qui exécute une phrase chorégraphique en seconde position alliant vitesse et précision. Phrase qui est le fil conducteur puisqu'on la retrouvera à la fin montrant les liens entre la danse et la graphie. Ce ballet contemporain a des influences très classiques, chères à Tânia Carvalho. Déboulé fluide et énergique, petites menées imitant les ballerines mais plus saccadées et rapides. Dans une lumière chaude, les corps de figent au centre et trois groupes éclatent sur fond de coup de projecteur. La musique est presque spectrale, aux sons crissants, tintants, sifflants. Les figures du groupe sont d'une grande inventivité et délicatesse d'exécution. Chaque danseur maîtrise son geste dont l'association collective recompose un tableau chorégraphique aux mille palettes de mouvements décalés. Figures en lignes verticales ou horizontales pleine de grâce et de légèreté. La phrase chorégraphique du début est répétée par les danseurs qui imprime le geste, leur cadence se ralentit comme un effet de Stop Motion. Les visages sont parfois neutres ou crispés. Le final se clôt par un groupe et un duo dans une lumière évanescente. Applaudissements. Raul Serrano Nunez déjà rencontré lors de la Brigade du ballet Sunshine, vient me parler de cette création. Il évoque les costumes dans un dégradé de couleurs qui viendront  donner une plus grande intensité aux mouvements. Danseur madrilène, dans la compagnie de l'Opéra de Lyon depuis 5 ans, Raul est animé d'une grande passion pour la danse et d'une formidable énergie qu'il retransmet magnifiquement sur scène et aux spectateurs. Il enchaine Sunshine d'Emanuel GAT où les 12 danseurs ont gagné en technique et fluidité depuis début janvier. Je découvre la musique qui était absente ou autre lors de la dernière répétition, la Water Music de Haendel associée à des commentaires de répétition d'orchestre. Raul fait aussi partie de la distribution du ballet Tout Autour de Rachid Oramdane, pièce rapide de 20 danseurs, aux courses effrénées. Trois pièces variées et des plus révolutionnaires.
Je remercie Nawel Boughanem du Toboggan pour m'avoir donné la chance de témoigner de cette formidable répétition. Merci au danseur Raul Serrano Nunez pour sa disponibilité et son professionnalisme. J'espère vous avoir donné envie de voir ce ballet qui est une véritable révolution de la danse contemporaine, remarquablement incarnée par le ballet de l'Opéra de Lyon.


BALLET REVOLUTION(S) : SUNSHINE 


En ce mercredi 13 janvier 2016, je pénètre l'Antre sacrée de l'Opéra de LYON et du monde de la danse, accompagnée par Pierre-Henri ALQUIER et Benjamin MIALOT. Alors que se jouent les répétitions de Lady Macbeth dans la grande salle, je vis un moment de partage avec les danseurs de l'Opéra de Lyon au sein de la Brigade du Ballet. Je suis littéralement projetée au coeur du processus de création chorégraphique du ballet d'Emanuel GAT, Sunshine, présenté à Décines au Toboggan du 9 au 13 février 2016. Idées bouillonnantes, corps frémissants, le ballet prend vie sous mes yeux dans une démarche créative où chaque danseur apporte sa pierre à l'édifice chorégraphique. Récit d'un après-midi mémorable dans le studio de danse. Sandrine RAMBAUD-J

Une répétition originale consacrée au travail collectif
Les 12 danseurs se mettent en place, concentrés et encadrés par Emanuel GAT. Je reconnais dans la distribution , des danseurs du ballet de Carmen et de l'Arlésienne qui ont quitté le néoclassique pour endosser le registre de la danse post-moderne.


Les premières notes de la Water Music de HAENDEL raisonne mais le groupe massé au centre de la salle de danse reste figé comme pour dérouter le spectateur. Puis, les corps libèrent leur énergie et expriment des thèmes dans un flux de mouvements perpétuels, en canon. Les corps s'imbriquent, se disloquent, les mouvements se déclinent, les gestes se transmettent ou entrent en raisonnance. Courses et marches alternent.

Franck LAIZET lève sa jambe si rapidement que mon appareil photo a à peine le temps de figer l'instant. Sans trucage, ni lumière, sa vitesse d'exécution donne une illusion d'optique.

Jacqueline et Tyler sont très attentifs aux conseils de leur chorégraphe. Je suis émerveillée par sa manière de travailler. Emanuel GAT explose en effet le cadre de création traditionnel. A partir d'une chanson intitulée Ain't No Sunshine (Pas de soleil), il laisse libre cours à l'imagination de ses danseurs qui s'approprient un mot (away, alone, always, sunshine) qui leur inspirent un mouvement. Cette chanson n'est que le support d'un tempo pour les danseurs, sorte de musique intérieure. La répétition a lieu sans bruit ou avec une bande sonore autre que celle prévue lors du ballet. Seule la musique des corps compte car la matière chorégraphique d'Emanuel GAT est d'abord celle des danseurs. Il encourage la technique de contact-improvisation où la danse multiplie les points d'appui entre 2 personnes.



Tadayoshi exécute un ensemble de sauts d'une hauteur et d'une impulsion impressionnante, encerclant le groupe comme pour unir la diversité des gestes de chacun dans un vaste ensemble. Les danseurs jouent sur la vitesse et le rythme, s'imprégnant des mouvements d'autrui.


Une répétition vibrante au contact individuel

En duo, trio ou quatuor, les danseurs improvisent ensuite une phrase chorégraphique, fruit de leur imagination tout en s'inspirant du corps de leur partenaire, de leur propre potentiel et de leur sensibilité. Déjà monté en septembre 2014 en ouverture de la Biennale de la danse, ce ballet sera donc forcément différent. Par l'improvisation, Emanuel GAT débride ainsi la créativité des interprètes en coordonnant l'ensemble. Il prend en compte la personnalité des danseurs et en exploite le meilleur tel un magicien des corps.


Les duos mixtes ou pas, de Raoul et Edi, Graziella et Tadayoshi, Jacqueline et Sarkis, Leoannis, Tyler, Franck et les autres, fonctionnent dans le respect et la complicité. Je perçois la bienveillance de chacun à l'égard de son partenaire. Cela me trouble, m'émeut. On construit ensemble. Regards complices, rires, sourires, visages baignés de lumière sous la coupole de l'Opéra. Les danseurs roulent, s'enroulent, chutent, se tiennent par le bassin, le bras ou la tête, pivotent. Les appuis contre-corps enveloppent chaque duo d'une certaine intimité. On répète et répète encore le geste jusqu'à sa forme aboutie en innovant et improvisant toujours plus. On mime les pas. Chaque danseur apporte sa touche personnelle selon sa formation plus ou moins classique ou contemporaine.
Deux témoignages forts
Deux danseurs, Franck LAIZET et Graziella LORRIAUX viennent ensuite rejoindre la Brigade du Ballet pour témoigner de leur vécu sur ce travail et leur place dans cette création. Ils confient leur chance dans leur carrière de pouvoir travailler auprès d'un chorégraphe comme Emanuel GAT, qui construit avec eux. Le jour de la Répétition Générale, quelques jours avant la Première, Emanuel GAT viendra déposer sa création finalisée dans son écrin musical (La Water Music de HAENDEL et un remix d'enregistrements de répétition d'orchestre par Frédéric DURU).

Dans le cadre de la soirée REVOLUTION(S) au Toboggan de Décines en février 2016, c'est un beau voyage chorégraphique qu'Emanuel GAT va nous offrir, un voyage inédit, unique, collectif et en même temps si personnalisé. Tout au long du ballet, le spectateur pourra sans cesse se poser la question des interactions entre les danseurs et en saisir la belle harmonie. La mise en lumière viendra sublimer la pureté et la fluidité du mouvement Comme le dit la chanson Ain't No Sunshine, support du rythme des mouvements des danseurs, "Il n'y a pas de soleil quand elle n'est pas là". Cette phrase pourrait aussi exprimer le sens de la danse dans notre vie. SUNSHINE...

                                              Sources : textes et photos de la bloggeuse Sandrine RAMBAUD-J

 

BALLET PREMIERES


Passionnée par la danse et l'opéra, j'ai eu le privilège de faire partie de la Brigade du Ballet pour assister à 3 répétitions tout en haut de la coupole de l'Opéra de LYON, le 16 mai 2015. En l'espace de quelques heures, le temps s'arrête comme suspendu à l'horloge de l'Hôtel de Ville, surplombant les toits de Lyon, dans une salle nimbée de lumière. Pleins feux sur les danseurs de l'Opéra, qui ont carte blanche pour exprimer leur créativité.  Sandrine RAMBAUD-J.
Afin d'être totalement immergé dans le monde de la danse, nous avons visité l'Opéra avant de découvrir 3 univers chorégraphiques différents à l'affiche du spectacle de Premières, au Radiant- Bellevue de Caluire en mai prochain. Trois danseurs-chorégraphes du ballet de l'Opéra de Lyon laissent libre cours à leur imagination pour un spectacle incontournable.

Premier univers chorégraphique, celui de Tadayoshi KOKEGUCHI dans le Grand studio. Sur une musique mixée de Bach, Ligeti et de sons numériques actuels, ce jeune chorégraphe donne les consignes de travail sur une pièce inspirée par la sculpture.     


8 danseurs comme emprisonnés dans la pierre, s'animent, se débattent, s'extirpent de la matière. Les muscles se contractent, se détendent lentement tout en donnant une impulsion émotionnelle. Dans les passages de duos, les corps s'entremêlent dans des arabesques saccadées et des postures désarticulées mais harmonieuses.


Sans jamais imposer, "Tada" compose avec le corps des danseurs qu'il connait bien et encourage au geste précis, toujours dans la recherche de l'esthétique. Par moment, les corps se figent comme des statues et manifestent leur capacité à utiliser le sol comme point d'appui dans la maîtrise des mouvements. Un des enchainements se déroule tel un ralenti comme au cinéma où les 8 danseurs décomposent chaque geste parfois en suspension. Un "exercice plus difficile que l'exécution d'un mouvement rapide" et qui exige une "grande concentration" nous confie Caelyn danseuse. Pour son partenaire Raoul, il faut arriver à "placer son énergie" pour que l'équilibre soit parfait.
 

Second univers chorégraphique, cette fois dans le petit studio, Ashley WRIGHT, fait répéter un duo. Quelques minutes d'observations à travers la vitre suffisent, pour comprendre cette transmission des gestes et des pas sur un thème abordant la cécité et le fait de se tourner vers l'autre pour être guidé.
Troisième et dernier univers chorégraphique, retour au Grand studio avec Franck LAIZET qui malgré sa blessure au talon d'Achille, poursuit son travail de chorégraphe, cherchant à créer une dynamique de groupe. Sur une musique de rock en live au rythme modéré, solos, duos s'enchainent. Puis le tempo s'accélère et le groupe des 13 danseurs occupe tout l'espace, en symbiose avec les sons, exprimant une énergie inouïe jusqu'au final presque frénétique avec ports de tête, ports de bras, pivotement du bassin, sauts, pieds pointés ou en flex, amplitude des mouvements. Une technique impeccable et une cohésion infaillible.

Au terme de cette après-midi magique, j'ai pris conscience que la virtuosité des danseurs passe par la combinaison non seulement du corps (articulation et muscles) mais aussi de l'intellect. Tous ces artistes ont le plaisir de danser et repoussent leurs limites avec beaucoup de générosité dans un seul but : la beauté du geste au service de la force émotionnelle. Partage, cohésion,  inventivité, puissance, technicité, émotion tels sont les mots à retenir de ces heures précieuses passées en leur compagnie.

Bravo à ces 3 jeunes chorégraphes qui explorent les mouvements et à ces danseurs que nous avons hâte de retrouver lors du spectacle de Premières. Pour sûr, ce sera un moment vivifiant, débordant d'efforts et d'énergie créatrice, voire libératrice de la danse de demain.


 

Les répétitions de ces Brigades du ballet sont terminées. La salle de danse se vide, le silence règne mais le lieu garde toute sa beauté et son mythe...


Et me voilà entre ombres et lumière dans la salle du studio de danse, lors d'une de mes visites guidées de l'Opéra de Lyon, en train de prendre des photos. On discerne au fond une vue magnifique et imprenable sur l'Hôtel de Ville.



Sources : Photos et textes de la bloggeuse Sandrine RAMBAUD-J
 
Et pour terminer, redescente des nombreux étages de l'Opéra, en passant par le Foyer, un des lieux historiques et emblématiques de l'Opéra que je préfère. La luminosité est différente selon les heures et le temps qu'il fait. Un endroit magique.



Sources : Opéra de Lyon, Affiche Ballet Premières, mai 2015
Voir cet article paru dans le blog du Petit Bulletin : Premières

BALLET "PETITE MORT" DE KYLIAN


Sources : Opéra de LYON, affiche soirée INGER/KYLIAN, avril 2018


A lire aussi dans ce blog :

SOIREE INGER/KYLIAN


Et regardez ma vidéo sur ma chaîne YOUTUBE Musica Danse sur :

 les ballets de JIRI KYLIAN :



La danse russe folklorique traditionnelle, le KHOROVOD :


Le ballet russe SPARTACUS :



5 Bonnes raisons de regarder le Ballet BLANCHE NEIGE de

 ANGELIN PRELJOCAJ



Pour mieux me connaitre, voir mon site OPERADANSE :

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